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MORPHOLOGIE D'UNE OUVRIÈRE FOURMI
Français - Anglais

Thibault Devillard

Maîtrise LEA 1998/99 - Université de la Sorbonne Nouvelle Paris III
Enseignant responsable : Loïc Depecker

Sommaire

Remerciements
Introduction
Abréviations spécifiques
Termes traités dans ce mémoire
Bibliographie


Remerciements

Je souhaite, dans un premier temps, adresser un grand remerciement à Mme Janine Casevitz-Weulersse, Maître de Conférences au Laboratoire d'Entomologie du Muséum National d'Histoire Naturelle, sans qui le présent travail n'aurait pu être réalisé. Son aide m'a été très précieuse tant en matière de conseils qu'en matière de recherche de documents. L'extrème gentillesse dont elle a fait preuve lors de nos diverses rencontres n'a fait que renforcer ma motivation dans l'accomplissement de ce travail de longue haleine. Lle a su, en outre, me faire partager sa passion en toute simplicité et sans a priori.

Je tiens également à remercier Mme Guglielmi, bibliothécaire du Laboratoire d'Entomologie du Muséum National d'Histoire Naturelle, qui a fait preuve d'une grande disponibilité en mettant à ma disposition les ouvrages à partir desquels a été réalisé ce mémoire. Je lui suis également reconnaissant de m'avoir indiqué l'existence de la Bibliothèque /Médiathèque du Muséum National d'Histoire Naturelle dont les rayons sont extrèmement bien fournis et dont les heures de permanence sont beaucoup moins contraignantes que celles du Laboratoire.

Un grand merci à tout le personnel de la Bibliothèque /Médiathèque du Muséum National d'Histoire Naturelle, qui a su se montrer très accueillant lors de mes différentes visites. J'en profite pour lui adresser mes félicitations pour la qualité de son service.

Merci également à Marie et à M. Cottavoz, agents techniciens du Laboratoire d'Entomologie du Muséum National d'Histoire Naturelle, pour leur accueil.

Enfin, je remercie Laurence Kemel, surveillante du service de cardiologie de l'Hôpital Beaujon et amie de ma famille, pour le temps et la patience dont elle a fait preuve pour relire ce mémoire.


Introduction

INTRODUCTION GÉNÉRALE :

De tous temps les hommes se sont intéressés à ces petits êtres insignifiants que sont les fourmis. Mais ce n'est qu'au cours du 18ème siècle qu'a commencé à se développer la Myrmécologie et que les premiers ouvrages à ce sujet ont été publiés. Depuis, plus de 30 000 travaux ont été réalisés. Cela s'explique notamment par la diversité dont font preuve les fourmis tant en matière de modes de vie que de caractères morphologiques. Dans le présent travail nous nous intéresserons plus particulièrement à ces derniers. Mais avant tout, une brève présentation de ces minuscules créatures s'impose.

Les fourmis appartiennent à l'ordre des Hyménoptères. Ce sont des insectes dits holométaboles, c'est à dire dont le développement passe par quatre stades : œuf, larve, nymphe et adulte (imago). Ces insectes ont un mode de reproduction particulier. Les mâles naissent d'œufs non fécondés dits haploïdes, alors que les femelles et les ouvrières naissent d'œufs fécondés (diploïdes). Ce système porte le nom d'haplodiploïdie.

Les fourmis sont des insectes sociaux. Ils vivent dans des colonies dont le nombre d'individus va de quelques dizaines à plusieurs millions (une fourmilière d'Anomma peut compter jusqu'à 20 millions d'individus). La fourmilière rejette toute forme d'individualisme et ne peut fonctionner que par les actions conjointes de tous les membres de la colonie. Une grande caractéristique des fourmis est la capacité à s'adapter à tout type de milieu. A l'exception des régions polaires, il est possible de trouver des fourmis partout dans le monde.

Cette même fourmilière peut prendre différente apparences. Alors que certaines fourmis construisent des dômes, d'autres élisent domicile dans des plantes ou fabriquent un nid en carton. La pérennité de la fourmilière est en général assurée par une pondeuse unique, la reine. On parle alors de monogynie. Les mâles ont pour unique rôle de féconder la femelle (et future reine) lors de l'envol nuptial. Seuls les mâles et les femelles possèdent une paire d'ailes. Les ouvrières, elles, sont aptères.

En apparence toute les fourmis sont identiques, mais la réalité est toute autre. Dans cet univers microscopique les curiosités ne manquent pas tant d'un point de vue morphologique qu'en matière de mode de vie. Les fourmis champignonnistes cultivent, par exemple, un champignon qu'elles font pousser en stockant dans des chambres les feuilles qu'elles ont découpées.

Les fourmis légionnaires défilent en colonne tuant toute forme de vie végétale ou d'insectes voire de petits mammifères sur leur passage. Et la liste pourrait s'allonger davantage.

En matière de morphologie il est important de noter que mâles, femelles et ouvrières n'ont pas la même morphologie. Les tailles varient en fonction des castes et parfois même à l'intérieur d'une même caste.

Il est évident qu'avec un nombre d'espèces estimé à 10 000 environ, toutes les fourmis ne sont pas identiques. Toutefois il existe deux critères de classification des fourmis que sont la présence ou non d'un aiguillon sur l'abdomeb et le nombre de segments composant le pétiole.

On distingue quatre sous-familles : les Ponérines, les Dolichodérines, les Myrmicines et les Formicines.

Les premières portent un aiguillon et le pétiole peut être soit unisegmenté soit binodé.

Les deuxièmes portent un aiguillon rudimentaire et le pétiole n'est fait que d'un nœud.

Les troisièmes portent quasiment toujours un aiguillon et ont un pétiole binodé.

Les dernières n'ont pas d'aiguillon et ont un pétiole en une partie.

Voilà pour cette brève présentation du sujet.

INTRODUCTION MÉTHODOLOGIQUE :

Démarche suivie

La première des choses à faire a été de trouver un sujet d'étude. Si en apparence cela ne semble pas être si difficile, dans la réalité il en a été tout autrement. En effet, ce n'est que tardivement que j'ai fait le choix de mon sujet. Dans un premier temps, j'avais songé à des sujets tels que la mécanique moto, la fabrication des raquettes de tennis ou l'univers de la Formule 1. Le premier avait déjà été choisi par un autre étudiant, les autres avaient fini par ne plus m'intéresser. Par un curieux concours de circonstances, j'ai alors décidé de me tourner vers les fourmis. A l'époque je lisais, en effet le troisième volet de la célèbre trilogie de Bernard Werber (La révolution des fourmis (qui a succédé aux livres " Les fourmis " et " Le jour des fourmis ")). De plus j'avais enregistré des documentaires (Attaville et La cité des fourmis) et un de mes professeurs m'avait remis un article du Monde dans lequel il était question des fourmis champignonnistes (Atta). C'est à cette période que mon travail de fourmi a commencé….

Après avoir trouvé le sujet, il était alors nécessaire de commencer la recherche de documents. De même, il me fallait trouver un valideur. Avant toute chose, j'ai commencé par me familiariser avec le domaine de mon choix. Pour cela, j'ai d'abord lu des ouvrages de vulgarisations.

Une fois cette étape franchie, j'ai décidé de rechercher activement la personne susceptible de m'aider dans mon entreprise et qui accepterait d'assumer le rôle de valideur . C'est en la personne de Mme Janine Casevitz-Weulersse, Maître de Conférences au Laboratoire d'Entomologie du Muséum National d'Histoire Naturelle, que je l'ai trouvée. Conformément aux conseils de mon responsable de mémoire, M. Loïc Depecker, je me suis adressé au Muséum National d'Histoire Naturelle. Et quelle ne fut pas ma surprise lorsque, me présentant a l'accueil du Laboratoire d'entomologie, on me mît en relation avec Mme Casevitz-Weulersse dont j'avais pu lire le nom dans différents ouvrages. C'est sans hésiter que, malgré les délais que je lui imposais et un emploi du temps chargé, elle m'a donné son accord.

Je me suis alors lancé dans une course à la documentation en commençant par me rendre aussi souvent que possible à la bibliothèque du Laboratoire d'Entomologie que m'avait indiquée Mme Weulersse. J'y ai fait la connaissance de Mme Guglielmi, bibliothécaire, qui m'a donné les documents dont j'avais besoin.

En raison d'heures de permanence trop restrictives au Laboratoire, j'ai du poursuivre mes travaux à la Bibliothèque Médiathèque du Muséum que m'avait indiquée Mme Guglielmi. Ce lieu est alors devenu ma deuxième résidence puisque c'est ici que la plus grande partie de ce mémoire a été élaborée.

Ciblage du mémoire

J'avoue avoir fait preuve au début de ce travail d'un peu d'égoïsme. Je tenais absolument à choisir un sujet qui me plaisait. Puis, petit à petit, au fur et à mesure de mes lectures et de mes avancées dans mes travaux, j'ai éprouvé le besoin de partager avec les autres la fascination, l'étonnement et l'admiration que je pouvais ressentir face à ces minuscules insectes que sont les fourmis. Plongé dans l'univers de l'infiniment petit, j'allais de surprise en surprise. J'ai donc choisi pour objectif de réaliser un glossaire suffisamment clair et intéressant pour éveiller la curiosité du lecteur et lui donner envie d'en savoir davantage. Pour cela je me suis appuyé sur une documentation variée allant du simple ouvrage de vulgarisation aux grandes références de la myrmécologie et d'entomologie. En effet, mon souhait était également de produire un travail scientifiquement fiable malgré la limite de mes connaissances dans ce domaine.

Limites et découpage du domaine

Mon idée première était de faire un mémoire sur la fourmi en générale. Un tel défi relève de l'exploit. En effet, comment synthétiser un sujet si vaste en 80 concepts sachant que ce sujet a fait l'objet de plus de 30 000 publications portant sur des sujets aussi variés que la communication, la reproduction, la vie sociale, l'alimentation, l'anatomie,…qui individuellement constituent chacun un vaste domaine de recherches et d'études. Etais-je naïf ou tout simplement inconscient ? Difficile de se prononcer. Toujours est-il que la raison a rapidement repris le dessus. Constatant qu'il m'était possible de relever les 80 concepts du mémoire en une dizaine de pages de lecture seulement, j'ai vite compris que je devais davantage cibler mon sujet. J'ai alors décidé de m'intéresser plus particulièrement à la morphologie de la fourmi. Pourquoi ce choix ? Tout d'abord parce que ce sujet semblait particulièrement bien adapté aux exigences d'un travail terminologique. L'approche descriptive qu'implique ce sujet rend les relations entre concepts suffisamment claires. D'autre part, beaucoup trop de personnes s'imaginent que la morphologie d'une fourmi se limite à une tête, un thorax et un abdomen et j'éprouvais le besoin de faire changer cette idée. Toutefois la morphologie de la fourmi reste un domaine encore trop vaste. Il existe, en effet, un important dimorphisme entre des espèces différentes ainsi qu'entre les différentes castes (femelle ; mâle ; ouvrière) d'une même colonie. J'ai donc pris le parti de limiter mon domaine à la morphologie de l'ouvrière fourmi en m'efforçant d'en donner les caractéristiques essentielles.

Critères de constitution du corpus

Il existe différents critères pour choisir les termes qui feront partie d'un corpus. Une première approche consiste à prendre en compte la récurrence des termes dans les documents ressources. C'est en partie celle que j'ai adoptée, mais la profusion de termes scientifiques destinés à décrire les différentes parties du corps d'une fourmi est telle qu'il m'a fallut opérer un tri sélectif. En effet, pour le présent travail j'ai pris la liberté de supprimer un grand nombre de termes trop complexes pour le lecteur profane et qui de toute façon ne sont que très peu usités par les spécialistes parce que n'ayant aucun caractère déterminant dans l'identification des espèces. La deuxième approche consiste tout simplement à déterminer si oui ou non ce qui nous semble être une unité terminologique a sa place dans le corpus en tant que terme du domaine traité.

Questions rencontrées et problématique suivie

Mon premier souci a été l'accès aux documents ressources. En effet, la Bibliothèque du Laboratoire d'Entomologie du Muséum National d'Histoire Naturelle n'étant ouverte au public que le Mercredi et le Vendredi de 14h00 à 17h00, il était difficile pour moi de concilier mes heures de visite à mes heures de cours, a fortiori lorsque je me trouvais à l'Institut d'Allemand d'Asnières. Après quelques semaines, Mme Guglielmi m'a informé de l'existence de la Bibliothèque Médiathèque du Muséum National d'Histoire Naturelle. Cet endroit est vite devenu mon unique point de chute lorsque je devais travailler sur mon mémoire, car non seulement il était ouvert du Lundi au Samedi mais également parce que j'ai pu y consulter la totalité des ouvrages qui m'ont permis de réaliser le présent travail. Toutefois, malgré un accueil et un service irréprochable, la Bibliothèque Médiathèque présentait un certain inconvénient. Il était impossible d'emprunter les documents à domicile, ce qui me privait de la possibilité de poursuivre mon travail chez moi.

La documentation a également été un de mes problèmes. J'ai notamment été confronté à l'hermétisme de certains ouvrages en raison de la limite de mes connaissances dans ce domaine. De plus, il n'est pas toujours évident d'établir des relations fiables entre les concepts d'une langue à l'autre. Une grande partie des ouvrages qui font foi en matière de morphologie date au pire des années 60 ou 70 et sont rédigés en anglais (c.f The Ants,1990 / B. Hölldobler + E.O. Wilson ou Identification guide to the ant genera of the world, 1994 / B. Bolton). A contrario, bon nombre d'ouvrages français de référence ont été rédigés entre la fin du siècle dernier et le début des années 70 (au mieux). L'absence de lexiques bilingues n'arrange rien au problème.

Il faut savoir également que, depuis un certain temps, la Myrmécologie s'intéresse beaucoup plus aux comportements, à la communication ou à la vie sociale des fourmis qu'à leur morphologie. Cela explique parfois la difficulté de trouver des contextes pour des termes que l'on ne trouve plus que dans des ouvrages d'entomologie générale. Il n'existe d'ailleurs pas à ma connaissance de glossaire de Myrmécologie.

D'autres problèmes se rapportent davantage à l'aspect terminologique de ce travail. Pour des raisons explicitées auparavant, il m'a fallut cibler très précisément mon domaine. La question qui en découle est : Est-il justifié de déterminer des sous-domaines ? Après mûre réflexion, il m'a semblé logique de catégoriser mon corpus en trois sous-domaines.


Abréviations spécifiques


BIBLIOGRAPHIE

Ouvrages français :

  • Recherche sur l'anatomie de la fourmi et essai sur la constitution morphologique de la tête de l'insecte ; C. Janet ; Ed. G. Carré et C. Naud, 1900 ; (205p.)
  • Etude sur les fourmis 1ère note : Sur la production de sons chez les fourmis
  • Observations sur les Fourmis ; C. Janet ; Ed. Ducourtieux et Gout, 1904 ; (68p.)
  • Anatomie du gaster de la Myrmica Rubra ; C. Janet , 1902 ; (68p.)
  • Traité de Zoologie. Anatomie, Systématique, Biologie. Insectes supérieurs et Hémiptéroïdes Fasc.2. Insectes-Hyménoptéroïdes-Psocoptéroïdes-Hémiptéroïdes-Thysanoptéroïdes. Tome X ; P.Grassé, A. Badonnel, L. Berland, F. Bernard, J. Bourgogne, R. Despax, R. Jeannel, G. Le Masne, P. Pesson, R. Poisson, E. Seguy ; Ed. Masson & Cie, 1951 ; (p.975è p.1949)
  • Les insectes physiologie développement ; J. Raccaud-Schoeller ; Ed. Masson, 1980 ; (296p.)
  • L'organisation sociale des fourmis ; Luc Passera ; Ed. Privat, c1984 ; (360p.)
  • Faune de l'Europe et du Bassin Méditerranéen -3- Les fourmis (Hymenoptera Formicidae) d'Europe occidentale et septentrionale ; F. Bernard ; Ed. Masson & Cie, 1968 ; (416p.)
  • Traité de Zoologie. Anatomie, Systématique, Biologie. Insectes Tête, Aile, Vol. Tome VIII.Fasc.I ; P.P. Grassé ; Masson & Cie,1973 ; (799p.)
  • Traité de Zoologie. Anatomie, Systématique, Biologie. Insectes Thorax Abdomen. Tome VIII.Fasc.II / P.P. Grassé Masson & Cie,1979 ; (600p.)
  • Les fourmis de nos régions. Introduction à la biologie sociale des fourmis ; J. C. Verhaeghe, J. Deligne, L. De Vos, W. Quinet ; Ed. D.I.R.E., 1984 ; (152p.)
  • Le peuple des fourmis ; François Ramade ; Ed. PUF,1965 ; (127p.)
  • Guide des abeilles, bourdons, guêpes et fourmis d'Europe ; H.Bellmann ; Ed. Delchaux et Niestlé, 1999 ; (336p.)
  • Guide des abeilles, guêpes et fourmis. Les Hyménoptères d'Europe ; Jiri Zahradnik ; Ed. Hatier, 1994 ; (191p.)
  • Les fourmis : des insectes très organisés ; Janine Casevitz-Weulersse ; Ed. Mango, 1994 ; (33p.)
  • Les fourmis des bois (ou fourmis rousses) ; Daniel Cherix ; Ed. Payot ; (62p.)
  • Mémoire de recherche terminologique trilingue sur la biologie et l'éthologie des fourmis ; Colombe Cipriani et Stéphanie Labroue
Pour la traduction en anglais…
  • The ants ; B. Hölldobler & E.O. Wilson ; Ed. Springer-Verlag, 1990 ; (732p.)
  • Ants, their structure, developement and behaviour ; Wheeler ; The Columbia University press, 1913 (663p.)
  • Identification guide to the ant genera of the world ; B. Bolton ; Harvard University press, 1994 ; (222p.)
  • Entomology 2nd Edition ; C. Gillott ; Plenum press, 1995 ; (798p.)
  • Imms General Textbook of entomology (vol.I) 10th edition ; O.W. Richards & R.G. Davies ; Ed. Chapman & Hall, 1977 ; (p.1è p.418)
  • Imms General Textbook of entomology (vol.2) 10th edition ; O.W. Richards & R.G. Davies ; Ed. Chapman & Hall, 1977 ; (p.419è p.1354)
Glossaires :
  • Dictionnaire des termes techniques d'entomologie élémentaire ;E. Séguy ; Ed. P. Lechapelier, 1967 ; (467p.)
  • The Torre-Bueno glossary of entomology ; J.R. de la Torre-Bueno ; Ed. New York entomological society in corporation with the american Museum of Natural History, 1989 ; (840p.)
Multimédia :
Organismes consultés :
  • Laboratoire d'entomologie du Muséum national d'histoire naturelle de Paris
    45, rue Buffon 75 005 Paris
    Service Hymenoptera

  • Bibliothèque du laboratoire d'entomologie du Muséum d'histoire naturelle de Paris
    45, rue Buffon 75 005 Paris

  • Bibliothèque et Médiathèque du Muséum national d'histoire naturelle
    38, rue Geoffroy Saint-Hilaire 75 005 Paris

  • Bibliothèque Nationale de France
    11, quai François Mauriac 75 013 Paris

  • Cité des sciences et de l'industrie
    Parc de la Villette
    30, avenue Corentin Cariou 75 019 Paris